Un salarié de la société Coca-Cola a été licencié pour faute grave en raison de la découverte, lors d'une opération de maintenance sur son ordinateur portable à usage professionnel, de quatre cent quatre vingt fichiers à caractère érotique ou pornographique.
Le salarié conteste son licenciement et saisit la juridiction prud'homale d'une demande de paiement de dommages-intérêts pour rupture abusive de son contrat de travail.
Le salarié critiquait notamment la décision de l'employeur en se fondant sur le fait qu'il (...)
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